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Breizh Power, mais kezako ?

Vivre en Bretagne est une réelle aventure. Les habitants y sont intéressants. On y est toujours très bien accueillis. Que l'on soit à Saint Malo ou à Brest, on y mange également très bien. Les Bretons tiennent d'ailleurs beaucoup à leur région.

Mais malgré de beaux paysages, un climat plus doux que le veulent les traditions et des gens accueillants, l'économie bretonne souffre. Les exportations diminuent depuis plus de 40 ans. Les Bretons se sont améliorés pour modernier leurs méthodes de travail. Mais cela est insuffisant. La concurrence mondiale est de plus en plus difficile à supporter. L'Espagne, pourtant un alliée de la France, donne du fil à retordre aux agriculteurs bretons.

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Face à la croissance de la misère en Bretagne, les Bretons ont décidé de s'entraider et de contrer la menace. C'est pourquoi des milliers agriculteurs ont décidé de se focaliser sur la qualité de leurs produits. Certes ces articles sont biensouvent plus chers que ceux fabriqués par leurs voisins européens ou pire par ceux venant d'Asie du Sud-Est, mais ils ont le mérite d'être meilleurs, plus jolis, plus solides ou plus originaux. Et les ventes ne se restreignent pas au petit périmètre breton. Les produits se vendent aussi très bien, que ce soit en Patagonie, en Amérique du Sud ou bien même en Ukraine.

Breizh Power, ce tout nouveau label inventé par Auvairniton Bourgrire SAS est une vraie révolution dans l'économie bretonne en crise. Cette certification va à présent donner la possibilité aux start-ups de se mettre en avant au sein même de leurs marchés cibles. Un atout incontestable que l'on doit en grande partie à Michel Fagor, qui a travaillé main dans la main avec les 4 fondateurs Marcel Auvairniton et M. Bourgrire.

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