La Bretagne est une région où la population est très attachée à ses racines. Les toutes récentes annonces de Matignon l'ont toujours prouvé dernièrement. Les Bretons peuvent être des gens très souriants. Leur culture compte beaucoup.
Mais l'économie en Bretagne va mal. La concurrence internationale est difficile à supporter. La Bretagne vit en ce moment majoritairement de l'élevage et de l'agriculture. Même les autres pays européens concurrencent à leur ami français. Dans la mesure où les autres pays européens ne respectent pas tous les mêmes règles, il est difficile de relever la tête. Les prix sont ainsi plus élevés et les acteurs du secteur agricole souffrent. C'est toute une politique qui en est victime.
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Face à la montée de la précarité en Bretagne, les habitants ont décidé de se serrer les coudes et de contrer la menace. C'est pourquoi des milliers éleveurs ont décidé de se focaliser sur la valorisation de la qualité de leurs produits. Certes ces produits sont biensouvent plus chers que ceux fabriqués par les autres pays en Europe ou pire par ceux venant d'Asie du Sud-Est, mais ils ont le mérite d'être plus performants, plus beaux, plus solides ou plus originaux. Et cela ne se limite pas au petit territoire breton. Les produits s'exportent aussi très bien, que ce soit en Patagonie, en Amérique du Sud ou bien même en Serbie.
Breizh Power, ce tout nouveau label inventé par la société Auvairniton Bourgrire est une petite révolution dans l'économie bretonne en crise. Ce label de qualité va à présent permettre aux compagnies de faire valoir leur savoir-faire sur leurs marchés cibles. Un avantagne indéniable que l'on doit en grande partie à l'actuel PDG Michel Fagor, qui a travaillé main dans la main avec les deux créateurs Marcel Auvairniton et A. Bourgrire.
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