Le film étirable, l’allié logistique des entreprises au quotidien

La logistique ne pardonne pas l’improvisation. Chaque palette expédiée, chaque marchandise qui s’apprête à quitter l’entrepôt, met en jeu la réputation d’une entreprise. Derrière ce ballet quotidien, un acteur discret tient un rôle de premier plan : le film étirable.

L’importance du film étirable pour le transport de palettes

Impossible de passer à côté : le film étirable s’impose en allié incontournable dès que l’on parle d’expéditions de palettes. Dans la majorité des entreprises, sa présence ne fait pas débat. Ce rouleau de plastique étirable, loin d’être un simple accessoire, conditionne la sécurité du transport, la fiabilité de l’acheminement, et parfois même la satisfaction du client final.

Les gammes de films étirables s’étendent des versions économiques aux produits haut de gamme. Pourtant, viser le prix le plus bas au kilo ou par rouleau s’avère rarement payant. Un film de qualité médiocre peut transformer une livraison en casse-tête : palette fragilisée, marchandises endommagées, voire refus pur et simple du transporteur. À l’inverse, enrouler chaque palette d’une quantité excessive de film, par peur de l’incident, finit par peser lourd sur la facture annuelle.

Pour trouver le bon équilibre, il faut mesurer avec justesse la quantité de film déployée. Trop peu, et la palette devient vulnérable. Trop, et le budget d’emballage explose. Comment ajuster ce curseur ? Plusieurs repères concrets permettent d’y voir plus clair.

Comment insérer le film étirable à bon escient ?

Voici trois axes à considérer pour utiliser le film étirable avec rigueur et bon sens :

  • Premier réflexe : choisir le film étirable en fonction des besoins réels de l’entreprise. Les variétés abondent, mais toutes ne conviennent pas à chaque utilisation. Ce sont les caractéristiques techniques, notamment l’épaisseur exprimée en microns, qui feront la différence. Pour une charge légère, un film de 17 microns suffit généralement, idéal sous les 400 kilos. Au-delà, il vaut mieux opter pour un modèle plus robuste, 23 microns ou davantage, capable d’encaisser plus d’une tonne. Autre critère déterminant : la forme de la palette. Un film standard conviendra parfaitement à des charges régulières, tandis que les palettes aux contours irréguliers exigent un film plus adapté, capable d’épouser les reliefs sans faillir.
  • Deuxième point, souvent négligé : le sens du collage. La surface collante doit impérativement être appliquée contre la charge, pour garantir la cohésion de l’ensemble pendant tout le trajet. Cette étape reste valable, que l’on travaille à la main ou via une machine automatisée. Un oubli, et c’est la stabilité de la palette qui s’écroule.
  • Enfin, lors du banderolage, ce moment où le film prend possession de la palette,, certaines zones méritent une attention particulière. Concrètement, il s’agit de renforcer la base avec trois tours de film, puis de sécuriser la partie supérieure de la même manière. Ce geste simple protège efficacement les cartons et objets empilés, réduisant les risques de dégradation au fil du transport.

Respecter ces trois étapes, c’est minimiser les incidents et garantir à chaque expédition une arrivée sans mauvaise surprise. Pour les entreprises à la recherche d’une solution fiable et adaptée, le film pour palette à voir sur cette plateforme spécialisée B2B représente une piste solide. Les besoins spécifiques trouvent ici une réponse sur mesure, sans détour ni compromis.

Le film étirable, bien choisi et bien posé, transforme la logistique en force tranquille. À chaque palette qui quitte l’entrepôt, c’est une promesse de fiabilité qui prend la route.