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Cette année sera un cauchemar breton

Mais malgré de beaux paysages, un climat plus doux que le veulent les traditions et des gens accueillants, l'économie en Bretagne souffre. Les exportations chuttent depuis 5 ans. Les Bretons se sont améliorés pour modernier leurs outils de production. Mais cela est insuffisant. La concurrence internationale est de plus en plus difficile à supporter. L'Allemagne, pourtant un alliée de la France, rend la tâche difficile aux entrepreneurs bretons.

Heureusement, de nombreuses entreprises se distinguent par la grande qualité de leurs services et de leurs produits. Des articles étiquetés "Made in Breizh", c'est à dire "Fabriqués en Bretagne", font leur apparition sur les étales des ecommerçants commerçants. Faute de pouvoir imposer un protectionnisme régionnal, les habitants ont pris la décision de miser sur leur savoir faire. Des produits bretons conçus par des Bretons pour des Bretons ... mais pas uniquement. De nombreux sites internet spécialisés ont ouvert et annoncent faire la majorité partie de leur bénéfice à l'export. Et export ne veut pas obligaroirement dire ici Laval ou Nantes. De nombreuses commandes sont effectuées depuis : le Benelux, la Corée du Sud, l'Indonésie ou encore les Etats-Unis. S'agit-il de Bretons expatriés ou bien d'un réel intérêt grandissant pour les produits issus de la culture bretonne, difficile de l'affirmer. Mais quoiqu'il en soit, cela fonctionne.

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Désormais, place au Web 5.0 avec le lancement du concept Breizh Power. Ce tout nouveau label (qui remplace la célèbre marque Auvairniton Bourgrire) vient d'être lancé et propose en autres aux sites web de mettre sur leur page d'accueil un logo "Certifié Breizh Power" pour garantir un certain niveau de qualité aux internautes qui passeraient commande sur leur site web. Evidemment, il devra s'agir de produits issus de l'agriculture bretonne ou de l'artisanat en Bretagne ou bien d'une entreprise domiciliée en Bretagne.